lundi 22 octobre 2007

Augmenter ou réduire son stress?

Pour quelles raisons une personne saine d’esprit voudrait-elle augmenter son stress, ou le réduire? Simple : parce qu’elle en éprouve trop, ou pas assez. Mais encore,….

Pour ma part, j’ai plus de facilité à augmenter mon stress qu’à le réduire. Principalement de m’en demander trop, et d’en vouloir trop en pas assez de temps. Oui, j’ai le bon stress facile et quelque fois, surabondant!

Je fais donc partie de ceux qui ont intérêt occasionnellement à réduire leur stress.

À titre de coach professionnelle, et pour la santé de ma gestion et de mon organisation, ce que j’ai trouvé de plus rentable, c’est d’avoir des phrases et images-repères pratiques qui m’invitent à une analyse créative de la situation. En court : une bonne analogie!

Hier, au congrès des coachs j’ai échangé avec beaucoup de plaisir avec Jean-Pierre Békier et Marcel Gemme. Des coachs très très compétents en la matière, en bien des matières, allez, en toute matière de coaching. J’espère qu’ils m’aideront ici à regrouper quelques autres trucs à utiliser lorsque vient le temps d’apporter des ajustements à notre stress.

Pour ma part, l’analogie que j’aime garder en tête est celle que le stress est un « écart ». Oui, une distance plutôt qu’une pression.

C’est l’analogie qui fonctionne le mieux pour moi. Quelle genre de distance?

Et bien, la distance entre mes désirs de résultats et les moyens utilisés!

Le fait de remettre la distance dans l’équation en priorité, réduit complètement l’effet de pression que je ressens. En changeant mon « point de vue » dans « l’équation »du stress, cela m’aide à voir différemment ma situation. Et qui dit changement de perception, dit Youpi! Changement d’actions!

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