jeudi 15 novembre 2007

Les 10 meilleures questions "de peur" à se poser

La peur fait peur! La peur a mauvaise réputation. La peur nous arrête avant même que l’on ne puisse prendre action. Nous avons surtout peur qu’elle ne reste, s’installe et continue à jamais de nous hanter! Boo-Hoo!

Je travaille à l’appréciation de la peur depuis plusieurs années déjà et je collectionne les meilleurs outils pour mieux la gérer (Outils de gestion développés en consultant et en coachant précisément sur ce sujet quelques centaines de coachés .).Les résultats de cette recherche indiquent qu’il est tout à fait possible de transformer les tensions que la peur nous fait sentir dans notre corps en pensées organisées.

Lorsque l’information contenue dans nos tensions est verbalisée et chiffrée, la tension chute et se transforme en un grand calme solide libre de toutes tensions. Fois après fois en coaching, j’assiste à cette transformation.

En vue de désamorcer la peur, voici ma liste des 10 meilleures questions à poser à vos clients :

1. En rapport avec cette situation, à combien chiffrez-vous ( en%) vos appréhensions ou votre anticipation?

2. Quelles sont vos craintes, anticipations, ou appréhensions, dans cette situation? (ici le client est invité à nommer ces peurs : i.e. : De quoi avez-vous peur?)

3. Quoi d’autre?

Au moment ou nous connaissons la peur, rien n’est encore gagné ni perdu. Gestionnaires prenez note : « La peur est l’indicateur de mesure et d’analyse qui permet d’établir la gestion des risques de gains ou de pertes en projection, dans une situation donnée. ».

4. Qu’avez-vous peur de perdre? (Invitez votre client à être créatif et inventif, pratiquez-vous ensemble à faire des phrases courtes commençant par j’ai peur de perdre; ma routine, mon confort, mon image de moi-même, mes idéaux, mon temps, mon argent,… etc. …)

5. Qu’avez-vous peur de gagner? ( ex. : de nouvelles relations, de nouveaux défis, une bonne grosse dépression, un nouveau poste, des changements à mon agenda,…etc. …)

6. Que peut-il arriver selon vous, au pire, au mieux dans cette situation?

7. Quelles sont les probabilités ( en %), selon vous, que le pire survienne?

8. Quelles sont les probabilités ( en %) , selon vous, que le meilleur survienne?

Vérifier que les % de probabilités que surviennent « le pire et/ou le mieux » totalisent moins de 100%. Si plus de 100% : demandez à votre client de revoir ses estimés.

9. Quelles seront les conséquences pour vous si le pire survient? Si le meilleur survient?

10. Qu’aurez-vous à faire dans ces circonstances?

Observez maintenant l’état de calme de votre client.

Prenez note avec votre client ( ou vous-même, si vous faites cet exercice en auto-coaching) de la transformation qu’il a accompli ( que vous avez accompli): transformation de tensions chiffrées en pensées organisées!

N’OUBLIEZ PAS! : la peur est une émotion ( une tension personnelle et professionnelle) nécessaire et obligatoire à la gestion des risques!

Bons coachings!

3 portraits du leadership selon Jim Clemmer

Jim Clemmer, auteur et conférencier canadien, mieux connu sous le nom du « practical leader », dresse un tableau très simple à retenir du leadership.

Dans ce tableau, juste sur la ligne du milieu, se trouvent les survivants. Les survivants observent sans participer. Ils se tiennent « sous le radar ».Ils ont développé des compétences supérieures à ne pas être détectés et à ne pas s’impliquer ou donner leurs opinions. Un autre groupe de leaders est le groupe dont les membres se tiennent dans la ville de la pitié (« Pity City »). Ce sont : les victimes. Les victimes assistent, participent ou animent des « Pity Party » à la sortie des réunions, à la pause café, au lunch, ou à tout autre occasion d’échanges formels ou informels. Attention! Ce groupe rassemble des passionnés! Autant passionné, mais dans une tout autre direction, nous retrouvons : les navigateurs. Les navigateurs tels des explorateurs de nouvelles contrées proposent, osent et s’activent vers des buts constructifs et coopératifs. À quel groupe de « dirigeants » appartenez-vous? Au courant de la journée, changez-vous de groupe? J’aime bien cette analogie, je la trouve très utile justement en coaching de groupes. Le commentaire le plus fréquent que j’ai entendu dire de la part de mes participants, en rapport avec ces 3 classifications, est : « Les gens qui font partie du groupe des survivants doivent être très malheureux lorsqu’ils entrent chez eux le soir! ». Qu’en pensez-vous?

Dans cet extrait d’une conférence de Jim Clemmer (source : You Tube) Jim donne plus de détails de : juste sur la ligne, ou juste au-dessus de la ligne et en dessous de la ligne ( les sceptiques se trouvent juste au-dessus de la ligne et les cyniques, juste en-dessous).

VISER HAUT, BEAU ET FORT

Il est bon que l'on nous rappelle des questions qui permettent d'oser en toute sécurité à être le meilleur que l'on puisse être et qui permettent de sortir des sentiers battus. et, quelques fois, des sentiers du découragement et/ou de l'écoeurantite aigue!

Je reprends ici, mot pour mot, la sagesse du coach MCC Alain Cardon:

Pour aider un client à sortir de ses sentiers battus, les question les plus simples lui proposent de directement se donner la permission d'oser. Il s'agit de lui proposer de viser haut, beau et fort.

-"C'est quoi ton idéal?"
-"Quel est ton meilleur scénario possible?"
-"Si tu osais vraiment affirmer tes espoirs, tu dirais quoi?"
-"Ton but ultime, à la limite de tous les possibles, c'est quoi?"

-"Dans le meilleur des mondes tu affirmerais quoi?"

-"Si la situation était parfaite, elle serait comment?"

-""L'objectif le plus élevé possible pour toi, c'est quoi?"
-Etc.

Attention!
Si le coaché résiste, c'est qu'il tient vraiment à dégager de nouvelles informations de ses émotions négatives!Aidez-le en utilisant la plateforme de forage d'information émolab ( pour dégager de ses émotions négatives de nouvelles informations utilitaires qui favorisent la collaboration).

mercredi 7 novembre 2007

Votre DNA visuelle

Cool et amusant! Voyez votre profil et comparez-le à une collectivité de près de 4 millions d’utilisateurs.

Digne de mention : Imagini a rejoint près de 4 millions de personnes! Bravo à l’équipe de programmation ainsi qu’à la direction artistique. Que ce serait formidable d’avoir des outils d’auto-coaching aussi bien fait! Cela me réjouit, car, je suis convaincue que ceci relève tout à fait du possible, ce n’est qu’une question de temps.

jeudi 1 novembre 2007

Ce matin, j’ai pleuré

En lisant le billet d’Alain Thériault ce matin, j'ai lu, j'ai regardé et écouté le vidéo. Au tout début en visionnant je ne comprenais pas réellement pourquoi Alain aurait pleuré, puis sous l'effet d'une seule image de toutes part mes larmes ont jaillies.

Voici video et mot pour mot ce qu’Alain nous transmet :

Aujourd'hui j'ai pleuré...
Rien à voir avec le coaching, enfin peut-être que si...
Quand on se dit que rien n'est impossible
Et qu'on se donne les moyens d'y arriver.
Si vous faîtes du sport c'est à voir
Si vous avez des enfants, c'est à retenir

lundi 29 octobre 2007

Aimez vos émotions négatives!

photo source: sylvey.free.fr

Vous avez déjà remarqué à quel point il y a de l'énergie de contenu dans vos émotions négatives, combien elles ont du pouvoir sur vous? Dès aujourd'hui, cueillez à bras ouverts cette source de pouvoir et constatez l'amélioration de vos résultats, de votre performance et de votre leadership. Si l'ego en affaires occasionne des coûts entre 6 et 15% des revenus annuels de votre entreprise ( voir billet du 22 septembre: Comment se porte votre ego: les bénéfices et les coûts de l'ego en affaires), à combien les chefs d'entreprises estiment-ils actuellement les gains et pertes dues aux émotions négatives au sein de leurs équipes de gestionnaires? D'ici à ce que je puisse écrire ces statistiques, je me fierai à mon gros bon sens.
Ce que mon gros bon sens me dit, c'est qu'il n'y a pas moyen de faire pire, en ce qui a trait à la gestion des émotions négatives au travail, on ne peut que faire mieux! Quels que soient les outils que nous proposons à titre de coach (ou de consultant organisationnel), nous ne pouvons qu'apporter une valeur ajoutée à nos clients.
J'ai un parti pris en ce qui concerne les meilleurs outils de gestion émotionnelle en entreprise: émolab en fait partie.

Trop, pas assez! La puissance des petits mots...

Lorsque mes objectifs sont "trop" complexes, lointains, nombreux, ou que je dispose de "trop" peu de temps, je ressens du stress. En fait,"trop" et "pas assez" me causent autant de stress l'un que l'autre.
Exemple:
J'ai trop de choses à faire, je n'ai pas assez d'information, de ressources, de compétences.

Pour réduire le stress causé par les "trop" et "pas assez", je reformule rapidement! Question de retirer de l'énoncé les petits mots bouffeurs de plaisir et d'énergie.

Exemple:
Mon objectif est trop complexe.
Devient:
Mon objectif comprend plusieurs sous-objectifs. Voici ce que j'ai à faire: ( et je liste).

Exemple:
Je n'ai pas assez d'information, de ressources, de compétences.
Devient:
Wow, ce que j'ai hâte de lister toute l'information, les ressources et les compétences dont j'ai besoin ( je me sens très très motivé!).

Attention! Reformuler risque de vous apporter beaucoup de plaisir au travail!

lundi 22 octobre 2007

Les plus grands besoins de la Terre

Hier après-midi je découvre le billet d’un coach danois : Lars Pinds coach, entrepreneur, développeur de logiciel qui écrit de Copenhague. Dans son billet du 19 octobre, Lars relève un extrait d’un livre qu’il vient de terminer et qui lui a particulièrement plu. Dans cet ouvrage, Sharif Abdullah se souvient d’avoir entendu quelqu’un lui dire; notre « mission » est l’endroit ou notre joie la plus profonde rencontre les plus grands besoins de la Terre.

Que c’est beau! Je désire ardamment y croire.

Lars témoigne que sa mission se trouve à la jonction de grandes joies et de grandes peurs. Il utilise même le mot « terreur ». Le titre de son billet est : votre mission se trouve à la jonction de votre joie et de votre terreur. Il nous invite à identifier cet endroit.

Pour moi, cet endroit est un endroit qui nécessite efforts et sacrifices. L’effort de penser et d’agir différemment. Le sacrifice de mettre certaines activités de côté pour faire place à de nouvelles activités.

Ma mission actuelle d’entreprise est d’œuvrer à la diffusion d’emolab.

Qu’elle est à la vôtre?

Voici le commentaire que j’ai écrit à Lars, en réponse à son billet du 19 octobre, 2007 :

J’en suis très fière, car c’est le premier commentaire que j’écris dans le blogue d’un confrère. C’était l’objectif que je souhaitais accomplir cette semaine ( objectif que j’avais mentionné à mes confrères de travail au congrès de coaching du 18 octobre 2007, au cours de la pratique d’une technique d’inversion suggérée par Isabelle Brault et Diane Laferrière au Café de coaching innovateur : un atelier des plus dynamique et créatif, catalyseur de forces productives : merci les filles!)

COMMENTAIRE ÉCRIT DANS LE BLOG DE LARS :

I thank you for this inspiring article of yours, on our “mission”. It made me reflect on my present greatest expectations of fears and joys (in this particular instance: the fears of gaining new activities, relations, of learning new ways of being and doing, and the joys of sharing information, appreciating ourselves more and collaborating better with each other) .The more specific mission of my entreprise is to help us all appreciate more our negative emotions.

Lars, I believe the goal of negative emotions is to get us to pay attention. The pain, is there not only to flow through us, but to get us to pay attention and chose to take action of our life’s choices and priorities. I believe negative emotions contain essential information to be brought forward into our consciousness. As a coach, and fellow humanitarian my mission is to remind us all of appreciating our negative emotions. To love more specially: our anger, fears , sorrow and guilt. I tend to see these as gages, which inform us of changes, changes within ourselves and the environment.

To identify my mission, a few years back I asked myself this very important question: Where is it that I can be of most help?

The answer was: in developing and distributing a software to help us appreciate ourselves more and better collaborate with each other. A software specifically addressing the management of our negative emotions .

Will keep on reading your blog. You are a true inspiration for me.

Lars, at the moment, which competence , is the next one for you to put in place in your life, in order to face your missions next most rewarding fear? and more importantly, who will you ask to help you in doing so?

All the best,

Elise Somers

Engineer, professional coach, software developer

http://www.emotionsautravail.com


Augmenter ou réduire son stress?

Pour quelles raisons une personne saine d’esprit voudrait-elle augmenter son stress, ou le réduire? Simple : parce qu’elle en éprouve trop, ou pas assez. Mais encore,….

Pour ma part, j’ai plus de facilité à augmenter mon stress qu’à le réduire. Principalement de m’en demander trop, et d’en vouloir trop en pas assez de temps. Oui, j’ai le bon stress facile et quelque fois, surabondant!

Je fais donc partie de ceux qui ont intérêt occasionnellement à réduire leur stress.

À titre de coach professionnelle, et pour la santé de ma gestion et de mon organisation, ce que j’ai trouvé de plus rentable, c’est d’avoir des phrases et images-repères pratiques qui m’invitent à une analyse créative de la situation. En court : une bonne analogie!

Hier, au congrès des coachs j’ai échangé avec beaucoup de plaisir avec Jean-Pierre Békier et Marcel Gemme. Des coachs très très compétents en la matière, en bien des matières, allez, en toute matière de coaching. J’espère qu’ils m’aideront ici à regrouper quelques autres trucs à utiliser lorsque vient le temps d’apporter des ajustements à notre stress.

Pour ma part, l’analogie que j’aime garder en tête est celle que le stress est un « écart ». Oui, une distance plutôt qu’une pression.

C’est l’analogie qui fonctionne le mieux pour moi. Quelle genre de distance?

Et bien, la distance entre mes désirs de résultats et les moyens utilisés!

Le fait de remettre la distance dans l’équation en priorité, réduit complètement l’effet de pression que je ressens. En changeant mon « point de vue » dans « l’équation »du stress, cela m’aide à voir différemment ma situation. Et qui dit changement de perception, dit Youpi! Changement d’actions!

mercredi 26 septembre 2007

Toute une belle leçon de vie!

Inspirant et très touchant cette adresse du Dr. Randy Pausch. Je cite mot pour mot le billet de Michael Carpentier : " en résumé il s’agit d’une conférence donnée par un type qui sait qu’il va mourir d’ici quelques semaines ou mois, et qui prend le temps de partager les leçons que la vie lui a donné, en se permettant de faire rire l’audience. Touchant et motivant."



Merci Randy!

mardi 25 septembre 2007

Un vrai petit bijou, de David Allen

David Allen encore une fois, est pour moi une réelle inspiration. Je suis sure que mes confrères PNListes apprécieront la citation suivante que j'ai relevé lors d'un visionnement ( youtube) d'un clip tourné lors d'un de ses ateliers-conférences:

“Il N'YA PAS LIEU D’AVOIR UNE MÊME PENSÉE 2 FOIS, À MOINS QUE VOUS AIMIEZ RÉELLEMENT CETTE PENSÉE » - David Allen, consultant expert en organisation du travail


Comment décider quel chemin prendre?

Que vous soyez travailleur autonome, agent secret, blogueur émérite, en fait quelle que soit votre occupation ou métier, de nouveaux projets vous interpellent. Quelque fois, plus intensément. Hier soir, j'étais à une soirée informelle de blogueurs d'affaires montréalais: YULBIZ. J'ai jasé, j'ai écouté. Dans ce domaine "hot" et branché, c'est même l'abondance d'interpellations. Comment déterminer lesquelles choisir. À qui, à quoi dire oui, non, et en quoi tout cela rime-t-il avec ce que l'on désire profondément faire plus de? Questionner le chemin à prendre, la suite de notre route est alors en primeur à notre agenda. Nous aimerions tous, bien sûr, faire les meilleurs choix, trouver "la" meilleure réponse.

À titre de collectionneuse de questions, à tout hasard gens d'affaires, de passions et de vie je vous propose celle-ci:

Qu'elle compétence ais-je aujourd'hui intérêt à voir le plus s'épanouir?

Si vous êtes dans le type de réflexion: Quel chemin prendre pour ne pas me tromper? Tromper, comme dans prendre le chemin le plus court, Bonne chance à vous! En fait, il n'y a aucun rapport entre le bon, le meilleur chemin et le chemin le plus court, ou celui qui présente le moins d'effort. Désolé! Voyez par vous-même, l'effet d'inconfort que cela génère. Si votre sentiment d'inconfort, ressemble au mien lorsque je me pose une telle question à un carrefour décisionnel, c'est clair qu'il y a une, ou des meilleures questions à se poser.
Exemple:

De quelle réussite ai-je le plus besoin?

À quel endroit est-ce que je désire le plus m'investir et apporter une contribution?

Alors, soyez de ceux qui ne cherchent plus la bonne réponse, mais plutôt, de ceux, qui trouvent la bonne question à se poser!

samedi 22 septembre 2007

Comment se porte votre EGO?

"Les bénéfices et les coûts de l'ego en affaires"

J'aime beaucoup la langue anglaise, son aspect inventif et familier. Je suis toujours étonnée de la facilité avec laquelle de nouvelles expressions apparaissent dans les communications d'actualités.
Steven Smith propose un excellent ouvrage, sur le sujet de l'egonomie. Ce n'est pas par ce que l'ego en entreprise est invisible qu'il n'a pas un effet des plus substantiels sur le rendement de votre entreprise. Steven ajoute que l'ego en affaires est un sujet rarement abordé, qui peut se trouver fort coûteux (coûts estimé entre 6 et 15% des revenus annuels). Le point d'équilibre entre un bon ego et un ego problématique résidant au point d'équilibre.
Cet équilibre n'étant autre chose que l'humilité! Selon Steven la vie, les affaires, les succès et insuccès nous "humilifient". À nous de le faire avant que ceux-ci ne le fassent pour nous!

Le sujet vous intéresse, lisez l'entrevue de Steven Smith sur les bénéfices et les coûts de l'ego en affaires (l'auteur répond aux très appréciées 10 questions de Guy Kawasaki (l’évangéliste du web2.0)

Alors, si et quand, votre ego est sur ou sous-évalué : clanchez sans plus tarder vos habiletés d'humilité!!!

Un ego surévalué, présente les symptômes suivants:
-être en mode défensif - être sur la défensive, de vos points de vues, idées, projets, produits et services
-être en mode comparatif: être trop compétitif, empêche une saine compétitivité
-être avide de reconnaissance: la quête de respect et de reconnaissance nuit à votre succès
-être en surbrillance: lorsque vos talents et votre intelligence détrône le sujet que vous présentez



dimanche 15 juillet 2007

Que feriez-vous?

Une petite pause du sérieux des vacances: 'FREE HUGS'




"FREE HUGS"durée 3:27min, musique "all the same" groupe:sick puppies

Alors,... que feriez-vous?

Widgets de coaching?

Coaching et widgets, pourquoi pas?
Avec les nouvelles possibilités du web2.0, et l'apparition de sites à contenu généré par leurs usagers, attention coachs et coachés, des trucs très sympas pointent à l'horizon!
À titre d'exemple, jetez donc un coup d'oeil à : wishood.com et 43 things.
Wishood propose même à ses membres un wishwidget à installer sur leur site web, organisateur de contenu, blog,...etc,...

mardi 10 juillet 2007

Qu'êtes-vous en train d'apprendre?

"Qu'es-tu en train d'apprendre? " se trouve bien haut dans la liste de mes questions préférées.

Depuis peu, je m'intéresse au développement des fonctionalités "open source" offertes aux blogueurs. Je me trouve motivée par cette incroyable plateforme d'expression vraie et de partage. Dernièrement, j'ai remarqué sur le site d'un confrère coach, Alain Thériault, une nouveauté: "Twitter". Twitter propose de laisser savoir aux internautes visiteurs ce que nous sommes en train de faire.
Si l'un de vous a trouvé un "Knower" pour partager ce que nous sommes individuellement en train d'apprendre, j'y vois absolument de l'intérêt , tant individuellement qu'interactivement.

À cette question: "Que suis-je en train d'apprendre?" paradoxalement, en y réfléchissant hier matin, ma réponse aurait été: comment ne pas faire certaines choses,...

Question du jour


Je m'intéresse aux questions. J'en fais même collection. Nous pensons par questions (oui, c'est la norme, mais ça déjà vous le saviez.).
Les questions, c'est un peu comme l'étincelle qui allume un feu,
un feu de réponses et de vérités qui augmente la clarté de direction de nos futures actions et entreprises.

Aujourd'hui, ma question du jour est double, la voici:

"Qu'est-ce que ça me coûte de changer? / Qu'est-ce que ça me coûte de ne pas changer?"

En se rappelant cette loi bien simple:
Que le grand but de toute entreprise est la croissance, ou être riche et célèbre, selon André.

Voici ma réponse à la question du jour:

Ce que ça me coûte de changer: d'investir différemment mon temps. De bouger différemment. De mettre en priorité: faire 3 appels téléphoniques ( plutôt que de remettre de jour en jour ces appels) et d'organiser des rencontres en fonction de nos disponibilités mutuelles.

Ce que ça me coûte de ne pas changer: continuer de me sentir mal à l'aise avec moi-même, réprimer un sentiment de culpabilité, d'infidélité à mes engagements, envers moi-même et les autres.


Laissez-moi en commentaires votre réponse du jour


lundi 9 juillet 2007

Libre de choisir

Quelques fois, nous passons à côté de ce qui est en notre pouvoir.
De ce qui est réellement en notre pouvoir, tel la liberté de choisir nos pensées.
S'il y a une réelle liberté, c'est celle que chacun a le pouvoir d'exercer:

La liberté de choisir le contenu de nos pensées audio internes.
Aucune obligation là!
Chacun est totalement libre de choisir

Libre de choisir les pensées qui meublent le discours intérieur que nous nous adressons tout au long de la journée. Des pensées que l'on s'entend intérieurement s'adresser.

En étant de plus en plus attentif à la qualité de ce discours interne, nous nous assurons une meilleure qualité de vie, de meilleurs rapports inter et intra-personnels,
se matérialisant par de meilleurs résultats.

100% responsable del'interprétation que nous donnons,...

Nous sommes
100% RESPONSABLE
DE L'INTERPRÉTATION
QUE NOUS DONNONS AUX ÉVÈNEMENTS
DONT NOUS FAISONS L'EXPÉRIENCE
Linda Larsen, 2007

Linda Larsen a été victime dans sa vingtaine d'un enlèvement. Elle nous rappelle que nous sommes entièrement responsable de l'interprétation que nous donnons aux évènements dont nous sommes témoins. À nous d'en faire un incident qui nous apporte du pouvoir dans notre vie ou bien d'y trouver blâmes et rancoeur.
Linda Larsen est une consultante en communication, elle est l'auteure de "True Power"

"Je vais"

Mes coachés m'entendent souvent dire, que l'expression "je vais" est l'expression la plus puissante de la langue française. Il est clair que ceci est entendu avec une oreille de coach portée sur la motivation et l'action.

Voici quelques autres expressions percutantes directement connectées à la prise d'action.

J'aime, j'aimerais : m'indique que le coaché a une vision.
Je veux: qu'il a du désir, de la volonté, de la motivation.
Je peux: qu'il reconnaît avoir des possibilités.
Je vais: que le coaché conclut un engagement (face à lui-même/ou face à ses pairs) de prendre action.

De même:
Si je veux en savoir plus sur ma vision, je fais des phrases débutant par j'aime, j'aimerais.
Si je veux en connaître plus sur mes motivations, je fais des phrases avec je veux.
Si je veux mettre en relief les choix, ou possibilités dont je suis conscient, je formule des énoncés avec je peux.
Et finalement, je peux constater au moyen des je vais, les décisions en cours d'exécution.

Attention de réviser au besoin votre inventaire des "je vais" passés non exécutés, désuets. Car, une non révision de ces derniers peut être source de stress!

Estime de soi


Depuis quelques années déjà j'ai le privilège d'animer des ateliers d'estime de soi.
Voici la définition que je privilégie:

Estime de soi
Comment nous nous sentons*en fonction des actions que nous faisons ou que nous ne faisons pas, en accord avec de nos valeurs prioritaires**.

* Comment nous nous sentons, plutôt que ce que nous pensons de nous-mêmes.
**Nous avons tous des centaines, même des milliers de valeurs. Les valeurs prioritaires sont celles qui sont en force au moment de notre propre évaluation.


Je donne souvent l'image de l'estime de soi, comme étant celle d'un thermomètre. Car, notre estime de soi au cours des jours, des semaines, des ans, fluctue.
L'estime de soi est un senti qui me donne une indication: À quel degré suis-je ou non en accord avec mes valeurs prioritaires?

Le premier exercice que je fais avec mes groupes est : " Inventaire des fiertés "

Je fais une distinction également entre estime de soi, valeur de soi et confiance en soi.
L'estime de soi des coachés fonctionne à 100%

La valeur de soi est ce qui demande le plus souvent à être revisé.
Pour être plus heureux,
prenons donc soin de 'relooker' régulièrement notre valeur de soi.


dimanche 8 juillet 2007

C'est quoi le coaching?

En quelques mots bien choisis

« Le coaching est une relation mutuelle qui vise à augmenter les résultats et la motivation. » Mercier Jean-Pierre - Le Coaching - Québécor

« Le but du travail d'entraînement est de libérer le potentiel pour le porter à son niveau de performance optimale. »
Whitmore John – Le Guide du Coaching – Maxima

"Le coaching est un partenariat entre une personne ou un groupe de personnes et un coach qui s'appuie sur des entretiens et des actions concrètes en vue d'atteindre des objectifs personnels, professionnels, ou d'affaires, de réaliser une transformation ou d'améliorer une performance."
Jean-Pierre Fortin - Académie de coaching

Pour en savoir plus, il y a un grand nombre de bons sites de coachs et de coaching qui répondent à cette question. Consultez les libellés du présent blog.

"J'sais pas"

J'sais pas ce que j'en pense - j'sais pas comment je me sens - J'sais pas par ou commencer - J'sais pas quoi faire - J'sais pas si j'ai le goût - J'sais pas sur quoi me baser - J'sais pas comment m'y prendre - J'sais pas ce que je veux - J'sais pas en quoi cela me concerne ,...

Ça nous arrive tous à l'occasion, de faire court et d'utiliser une expression raccourcie telle: "J'sais pas".
C'est plus embêtant lorsque ces 2 ou 3 petits mots sont associés à un sentiment d'inconfort, vague et imprécis. Et, encore plus inconfortable lorsqu'une décision à prendre devient de plus en plus imminente.
En tant que coach, c'est pour moi une invitation à en savoir plus, à faire valoir de nouvelles informations. ( De quelles informations ai-je besoin, pour savoir? informations de quelle provenance? Ex: mes valeurs, mon senti, mes émotions, mon environnement? ).

Alors, n'hésitons pas à creuser un peu plus loin, car cette expression n'a rien d'une finalité en soi, mais annonce une ouverture sur de nouveaux horizons de connaissances, d'intérêts et de découvertes.

SUGGESTION du
Coach Élise Somers :

"De quels savoirs/informations avez-vous le plus besoin pour éclaircir la situation?"

L'expression " j'sais pas" indique toujours un manque de connection à une ressource d'information ( information sensorielle, émotionnelle, environnementale,...), un manque d'information permettant d'évaluer et communiquer rationnellement.